D'après des informateurs, ce ne serait pas un emploi aidé qui serait financé par le Conseil régional mais 3 empois qui seraient pris en charge par le contribuable.
Dans le même temps, on assiste à une explosion du poste salaires et traitements de "Hellfest productions". Jugez plutôt :
2007 : 72 883 €
2008 : 279 054 €
2009 : 387 515 €
2010 : 446 137 €
2011 : 532 677 €
Sur cette même année 2011, il apparaît cette répartition sur les 532 677 € :
Salaires artistes : 116 839 €
Salaires intermitents : 149 576 €
Salaires administratifs : 210 591 €
Comme il y a des emplois aidés déjà financés par les fonds publics, on ne peut que légitimement se poser la question suivante, d'autant que cette situation ne serait pas nouvelle et que par ailleurs le bénévolat est très important : à quoi correspondent ces catégories et combien de personnes sont concernées par chacune ?
Nous avons donc adressé un message à "Hellfest productions" ainsi qu'aux responsables politiques concernés pour que nous soyons éclairés
Nous en avons profité pour demander aussi à quoi correspondent les aides de l'état s'élevant à 46 281 € et qui s'ajoutent aux subventions d'un montant de 103 480 €.
Nous avons donc adressé un message à "Hellfest productions" ainsi qu'aux responsables politiques concernés pour que nous soyons éclairés
Nous en avons profité pour demander aussi à quoi correspondent les aides de l'état s'élevant à 46 281 € et qui s'ajoutent aux subventions d'un montant de 103 480 €.
Il y a beaucoup d'argent public engagé et vraisemblablement plus que le chiffre de 1 million d'euros que nous avançons et qui n'a pas été contesté.
Les contribuables ont donc le droit de savoir à quoi servent leurs impôts et ce d'autant qu'il n'aura échappé à personne qu'il est beaucoup question aujourd'hui de "bonne gestion de l'argent public", ce qui est plutôt sain mais qui demande à être confirmé par les faits. A suivre.
Les contribuables ont donc le droit de savoir à quoi servent leurs impôts et ce d'autant qu'il n'aura échappé à personne qu'il est beaucoup question aujourd'hui de "bonne gestion de l'argent public", ce qui est plutôt sain mais qui demande à être confirmé par les faits. A suivre.