Dans un courrier adressé à Ben Barbaud, à la mairie de Clisson et à la gendarmerie, un riverain du hellfest exige réparation des dégâts subis sur son terrain situé à 73 m de l'entrée du hellfest et du camping ( d'autres sont situés à 45 m) en relevant d'autres nuisances.
Dans ce courrier, ce riverain se dit étonné " Qu'aucune disposition ( ganivelles ou barrières) visant à protéger les biens des riverains les plus soumis à la promiscuité de ces désagréments n'aient été mis en place..."
Le bruit aussi a été difficile à supporter... "Avec 115 décibels mesurés et constatés dans le lotissement...J'ai appelé Monsieur le Maire, à 21h un soir du festival ...iI m'a répondu qu'il y avait une place en hébergement d'urgence dans le local réservé aux sans-abri...Dans les festivals bretons, le riverain a la possibilité d'être hébergé ailleurs. J'ai des amis pour témoigner..."
Un courrier qui a eu un premier effet : dans son édito du journal municipal de juillet-août,le maire de Clisson écrit qu'il "comprend que certains riverains ont du mal à supporter les nuisances sonores ou les vibrations" et que "nous recherchons les améliorations possible".
Le cas de ce riverain n'étant pas isolé, une association de riverains est envisagée.
Le cas de ce riverain n'étant pas isolé, une association de riverains est envisagée.
Souces : "L'hebdo de Sèvres & Maine", le bulletin municipal de Clisson, nos propres infos.
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