Sollicités par un média que nous remercions,
Thomas Louvet ( Porte-parole du collectif ) ET Etienneweb, ( Rédacteur
des articles sous la rubrique « Rock & Metal » pour le compte du
Collectif ) ont volontiers répondu à des questions écrites dont celles-ci :
Si les
arguments utilisés pour dénoncer le festival en mai dernier soulignent les
références au satanisme des groupes, les critiques mises en avant sur votre
site concernent essentiellement les subventions perçues par l’organisation, que
reprochez-vous à ce festival qui semble être mieux accepté par les populations
que, par exemple, les rave parties ?
Qu’en
est-il de l’opération Jéricho annoncée par certains opposants et comment faire
prendre conscience à la jeunesse qu’il peut exister d’autres musiques pour
entretenir les liens communautaires et que l’on peut se saluer autrement qu’avec
« See ya in hell » (à bientôt en enfer) ?
L’autre
volet de l’événement musical est l’opération commerciale, tout est organisé
pour alléger financièrement le festivalier : club privé fonctionnant tout
au long de l’année, boutique en ligne, partenaires (Redbull, Quick,
Kronenbourg), même les viticulteurs de Clisson sont présents sur zone. La mode
et la technologie participent avec dix tatoueurs/piercers et un bracelet de
contrôle intégrant le système RFID avec une puce électronique. Mise en garde
contre les addictions à l’alcool, jeux, drogues – prévention auditive. Les
festivaliers sont aussi invités à trier leurs déchets avec des sacs sélectifs
colorés. Rien de bien différent de n’importe quelle festivité publique,
beaucoup de bruit pour rien ?
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