Hier, à leur demande, nous avons été interviewés par RMC et
BFM TV.
Dans l’un comme dans l’autre des
entretiens, nous avons bien évidemment indiqué et illustré les points suivants qui bien évidembment ne vont pas l’un
sans les autres :
il y a bien des discours de haine au Hellfest et dont
seules la culture et la religion chrétienne sont la cible,
il y a bien
une caution morale des autorités publiques,
il y a plus de 1 700 000
euros d’argent public utilisé,
un débat public s’impose au cours duquel
sera clairement posée la question : « La haine qui s’exprime au Hellfest
concernant la culture & la religion chrétienne est-elle possible envers une
autre culture et une autre religion ? »
Rien ou presque de nos arguments n’a été pris en compte. Pire : repoussé à deux reprises à leur demande, le rendez-vous avec BFM TV a eu lieu finalement à 22h30 jeudi soir. Durée de l’interview : ½ heure avec prises de vue à la fois des comptes que nous avions en main et des exemples de paroles et de visuels de groupes. Rendu à l’antenne : 15’ et aucun des points évoqués plus haut traités !
Rien ou presque de nos arguments n’a été pris en compte. Pire : repoussé à deux reprises à leur demande, le rendez-vous avec BFM TV a eu lieu finalement à 22h30 jeudi soir. Durée de l’interview : ½ heure avec prises de vue à la fois des comptes que nous avions en main et des exemples de paroles et de visuels de groupes. Rendu à l’antenne : 15’ et aucun des points évoqués plus haut traités !
Ah si, cette ligne ici « Il y a en gros 15 à 20 % de groupes qui sont satanistes, anti-chrétiens. Ça nous fait mal parce que ça véhicule des contres valeurs", estime ainsi un habitant. »
Une marque évidente de la part de BFM TV du respect de ses
interlocuteurs et du souci de l’information !
Quand nous évoquons la collusion
médiatico-politico-culturellement correcte, cette prestation de BFM TV apporte une preuve de plus, collusion dont de plus en plus
de citoyens prennent conscience( cf les sondages d’opinion / confiance aux
médias installés et au monde politique).
Le débat public que nous réclamons et que visiblement le
système refuse, nous le porterons de toute façon. "Jéricho" continue(ra), nous en prenons
l’engagement !